mer, 29 novembre 2023
Des chercheurs de l'université de Yale s'apprêtent à caractériser plus précisément le syndrome post-vaccinal.
Dans la nouvelle Étude Yale-LISTEN (preprint, not yet peer reviewed), les chercheurs révèlent de tristes chiffres. Bien que le syndrome chronique post-vaccinal (SPV) après la vaccination Covid-19 ait déjà été signalé, il n'a pas encore été bien caractérisé.
Cette étude montre maintenant plus en détail la souffrance des personnes blessées par un vaccin. Au total, 241 personnes (dont 211 aux États-Unis) ont participé à l'étude de mai 2022 à juillet 2023, toutes âgées de plus de 18 ans. Le point commun de ces personnes est qu'elles ont toutes signalé des problèmes pouvant être catégorisés comme "PVS" après l'injection de Covid-19.
Parmi les personnes traitées, 127 (55%) l'ont été avec la substance de Pfizer-BioNTech et 86 (37%) avec la substance de Moderna. Les 8% restants ont été traités avec Janssen (Johnson & Johnson) et d'autres substances.
Voici un triste résumé des effets secondaires survenus en moyenne dans les trois jours suivant l'injection (premier, deuxième, troisième, voire quatrième+).
Les cinq symptômes les plus courants :
Les symptômes suivants sont apparus au cours de la semaine précédant la fin de l'enquête (au moins une fois par semaine) :
Les inquiétudes concernant la situation du logement et la sécurité alimentaire sont également très répandues. Pour être juste, il convient de préciser que ces craintes peuvent également concerner des personnes qui n'ont jamais vu d'avion de ligne. Covid de l'injection de près. Les personnes interrogées ont également été invitées à quantifier la gravité de leurs symptômes les jours les plus pénibles, la valeur "0" indiquant une limitation insignifiante et la valeur "100" un état intolérable. En moyenne, les participants ont indiqué un niveau de gravité de 80.
Les personnes concernées ne se sont pas contentées de rester les bras croisés, elles ont essayé de s'aider elles-mêmes ou d'obtenir de l'aide. Les traitements suivants ont été utilisés :
Plus de 500 traitements supplémentaires Les participants ont fait état de plusieurs mesures, telles que la limitation de l'exercice ou de l'effort, l'abstention d'alcool ou de caféine, l'augmentation de la consommation de liquides et de sel, et le jeûne intermittent. Aussi triste que cela puisse paraître, de telles études donnent aux personnes non traitées la certitude qu'elles ont fait le bon choix en évitant l'injection omniprésente. Et pour les victimes, dont certaines doivent sans doute accepter de graves altérations de leur qualité de vie, des thérapies adaptées seront, espérons-le, mises à leur disposition. Il ne faut pas oublier ceux qui n'ont pas vécu assez longtemps après l'injection pour pouvoir participer à une telle étude.
(Source: https://hoch2.tv/beitrag/yale-pvs Auteur: Patrick Castelberg)